Pierre-André Denoir

Fondateur

Créateur de l'échelle de l'amateurisme et d'un courant de pensée maintenant largement admis et loué. Il a fait l'objet de critiques dithyrambiques, et de plus en plus d'universités proposent l'étude de ses ouvrages. Le cercle de l'amateurisme compte à ce jour près de 7 milliards de membres.

Corinne Denoir

Vice-fondatrice

Collaboratrice et épouse de Pierre-André Denoir, elle a grandement participé au développement de la pratique amateure avec son mari. Elle est à l'origine de toutes les manifestations et conférences publiques sur l'amateurisme depuis la première publication de son conjoint, rassemblant ainsi de plus en plus de "fidèles".

Co-écrivain et philosophe

Philosophe de renom et meilleur ami de Pierre-André Denoir, il a co-développé l'échelle de l'amateurisme mais a toujours préféré rester dans l'ombre pour ne pas avoir à endosser le rôle de leader. Il a cependant toujours accompagné Pierre-André Denoir dans la rédaction de ses ouvrages tout en y étant cité dans le colophon en corps 6 (selon sa propre volonté).

Militante de la première heure

Bien qu'elle n'ait pas participé au développement des théories écrites sur les pratiques de l'amateurisme, elle a toujours été salué par le fondateur du cercle pour son engagement. Elle a participé à presque toutes les manifestations organisées par Corinne Denoir à travers le monde, avec une ferveur encore jamais égalée. Elle est à l'origine du fameux slogan encore repris de nos jours "J'amate !"

Premier Ministre de l'Amateurisme (entre 1921 et 1927)

Avec la démocratisation des écrits de Pierre-André Denoir et la montée en flèche des pratiques et praticiens amateurs, le gouvernement prenait à l'époque la décision de confier à un Premier Ministre (en France Marcel Saulin) la charge morale et financière du développement des centres et infrastructures nécessaires à une pratique amateur généralisée et collective. Aujourd'hui, malgré les apports en numéraires et en nature de Marcel Saulin, le poste de Premier Ministre de l'Amateurisme n'est plus du tout mis en avant en France, le gouvernement s'étant engouffré dans des pratiques quasi exclusivement capitalistes.